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Coordonnateurs(trices) : une ressource inestimable
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Les coordonnateurs(trices) du Programme des élèves internationaux sont indispensables au bon déroulement de l’expérience des jeunes au Nouveau-Brunswick. Ils sont neuf coordonnateurs(trices) répartis dans les différentes régions de la province à veiller au bien-être des participants.
Leur rôle consiste, entre autres, à identifier les foyers d’accueil pour les élèves, à planifier périodiquement des activités ainsi qu’à offrir au besoin un soutien (pour les écoles, les familles et les jeunes).
Pour Marie-France Maltais, son rôle comme coordonnatrice pour la région de Campbellton/Dalhousie lui permet de s’ouvrir davantage sur le monde. À son avis, les coordonnateurs sont essentiels pour que les élèves puissent vivre la plus belle aventure possible.
« On est une personne-ressource autre que la famille d’accueil. Les élèves peuvent nous faire confiance. C’est important qu’ils aient quelqu’un à qui se confier », explique Marie-France.
Elle ajoute que la relation établit par les coordonnateurs avec la direction d’école, les enseignant(e)s et la personne de l’école qui est responsable des élèves internationaux, fait toute une différence pour l’intégration des élèves à l’école.
« Je trouve que cette partie de la coordonnatrice est essentielle, soit de développer des bonnes relations avec l'école et que les élèves se sentent les bienvenus à l’école. C’est une belle sensibilisation que les coordonnateurs peuvent faire à l’école », précise-t-elle.
Quant à Sylvie Landry qui est coordonnatrice pour le programme à Edmundston et pour le Haut-Madaswaka, cette expérience lui a permis de voir la vie différemment.
« C’est une ouverture d’esprit pour tout le monde. Je ne vois plus le monde comme avant. Ces jeunes m’ont ouvert les yeux. Je me vois comme la grand-mère de tout le monde. Je suis l’extension de leur famille, la famille élargie de ces enfants », estime Mme Landry.
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Leur rôle consiste, entre autres, à identifier les foyers d’accueil pour les élèves, à planifier périodiquement des activités ainsi qu’à offrir au besoin un soutien (pour les écoles, les familles et les jeunes).
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« On est une personne-ressource autre que la famille d’accueil. Les élèves peuvent nous faire confiance. C’est important qu’ils aient quelqu’un à qui se confier », explique Marie-France.
Elle ajoute que la relation établit par les coordonnateurs avec la direction d’école, les enseignant(e)s et la personne de l’école qui est responsable des élèves internationaux, fait toute une différence pour l’intégration des élèves à l’école.
« Je trouve que cette partie de la coordonnatrice est essentielle, soit de développer des bonnes relations avec l'école et que les élèves se sentent les bienvenus à l’école. C’est une belle sensibilisation que les coordonnateurs peuvent faire à l’école », précise-t-elle.
Quant à Sylvie Landry qui est coordonnatrice pour le programme à Edmundston et pour le Haut-Madaswaka, cette expérience lui a permis de voir la vie différemment.
« C’est une ouverture d’esprit pour tout le monde. Je ne vois plus le monde comme avant. Ces jeunes m’ont ouvert les yeux. Je me vois comme la grand-mère de tout le monde. Je suis l’extension de leur famille, la famille élargie de ces enfants », estime Mme Landry.
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