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Une microentreprise écologique à l'école Place-des-Jeunes
Coordonnateurs(trices) : une ressource inestimable
On crée d’importants liens avec la communauté à l’école communautaire Saint-Joseph

Par Sophie Bellefleur, enseignante
Depuis quelques années, il s’est formé à notre école un groupe de penseurs. Il s’agit d’élèves qui partagent leurs opinions par l’intermédiaire de l’écriture. Parmi les jeunes rédacteurs du magazine de l’école, certains d’entre eux ont commencé à échanger des idées de projets écologiques et environnementaux.
De ce flot d’idées créatrices a jailli un concept de microentreprise lié à leur intérêt pour l’écologie. Nous l’avons appelée « PDJ pour la planète ». Les élèves de cette microentreprise ont en commun une philosophie qui encourage la protection de l’environnement. Ces jeunes ont à cœur de réduire leur empreinte écologique. C’est pourquoi l’idée est venue de créer des produits qui allaient aider dans ce sens.
L’année dernière, à l’approche des Fêtes, nous avons créé des tissus d’emballage pour remplacer le papier qu’on jette à la tonne à Noël. En fait, on appelle « furoshiki » la manière d’emballer les cadeaux avec du tissu, à la japonaise. Les élèves sont intéressés et fascinés par cet art qui ressemble un peu à l’origami.
Puis, finalement, notre microentreprise a aussi créé un autre beau produit : des filets à légumes. L’objectif étant de réduire l’utilisation de petits sacs de plastique. Ils sont utilisés notamment à l’épicerie, pour y mettre les fruits et les légumes. Dans ces filets, nous y avons placé des articles écologiques comme des pailles réutilisables, une brosse à dents en bambou et des lingettes biodégradables. Nos filets à légumes, ainsi que nos « furoshiki », sont en vente tout au long de l’année à notre école.
En tant qu’enseignante, je me donne continuellement comme mandat de conscientiser les jeunes à la protection de l’environnement. Je veux amener les élèves à développer leur esprit critique, à s’ouvrir sur le monde et à chercher à établir une certaine équité.
Depuis quelques années, il s’est formé à notre école un groupe de penseurs. Il s’agit d’élèves qui partagent leurs opinions par l’intermédiaire de l’écriture. Parmi les jeunes rédacteurs du magazine de l’école, certains d’entre eux ont commencé à échanger des idées de projets écologiques et environnementaux.
De ce flot d’idées créatrices a jailli un concept de microentreprise lié à leur intérêt pour l’écologie. Nous l’avons appelée « PDJ pour la planète ». Les élèves de cette microentreprise ont en commun une philosophie qui encourage la protection de l’environnement. Ces jeunes ont à cœur de réduire leur empreinte écologique. C’est pourquoi l’idée est venue de créer des produits qui allaient aider dans ce sens.
L’année dernière, à l’approche des Fêtes, nous avons créé des tissus d’emballage pour remplacer le papier qu’on jette à la tonne à Noël. En fait, on appelle « furoshiki » la manière d’emballer les cadeaux avec du tissu, à la japonaise. Les élèves sont intéressés et fascinés par cet art qui ressemble un peu à l’origami.
Puis, finalement, notre microentreprise a aussi créé un autre beau produit : des filets à légumes. L’objectif étant de réduire l’utilisation de petits sacs de plastique. Ils sont utilisés notamment à l’épicerie, pour y mettre les fruits et les légumes. Dans ces filets, nous y avons placé des articles écologiques comme des pailles réutilisables, une brosse à dents en bambou et des lingettes biodégradables. Nos filets à légumes, ainsi que nos « furoshiki », sont en vente tout au long de l’année à notre école.
En tant qu’enseignante, je me donne continuellement comme mandat de conscientiser les jeunes à la protection de l’environnement. Je veux amener les élèves à développer leur esprit critique, à s’ouvrir sur le monde et à chercher à établir une certaine équité.